Soigner la chlamydia à base des plantes
La chlamydia est une maladie sexuellement transmissible qui touche en général les jeunes qui sont nouvellement actifs sexuellement. Cette maladie est en hausse dans la jeunesse européenne; et le pire c’est que la plupart des personnes qui en sorte ne le savent même pas. La chlamydia, pour en être guéri implique la prise assidue des antibiotiques. Cependant, la nature a aussi apporter des solutions naturelles pour aider à se débarrasser de cette maladie en se servant des plantes.
Les solutions naturelles contre la chlamydia
La prise des antibiotiques est jusqu’à présent l’unique moyen que la médecine moderne a trouvé pour soigner la chlamydia. La mauvaise prise de médicament peut entraîner des résistances à ces antibiotiques, ce qui peut entraîner d’autres problèmes comme la stérilité. C’est donc à ce niveau qu’intervient la phytothérapie.
Les plantes, les huiles essentielles et d’autres produits naturels sont utilisées pour soigner efficacement cette maladie et rééquilibrer la flore vaginale. On utilise comme plantes :
- Le pamplemousse : ces pépins sont un antibiotique naturel qui peut être pris en complément d’un traitement conventionnel de chlamydia.
- Les huiles essentielles : le capujet, l’origan, le thym, la lutte, et même l’eucalyptus sont utilisées poir soigner les infections à chlamydia. Certaines d’entre elles sont aussi efficaces pour les infections urinaires. C’est en général en forme d’ovules que ces huiles sont utilisées.
- Les plantes : poir être efficaces contre la chlamydia, elle doivent contenir de la berbérine. C’est une substance qui contient des propriétés pour lutter efficaceme’t contre la chlamydia, ainsi que tout les désagrément qui s’en suivent. On trouve parmi ces plantes l’hydraste du Canada, l’épine vinette. D’autres plantes comme l’Usnée barbue, le Mahonia, la Gentiane, et bien d’autres sont employées comme remèdes contre la chlamydia.
La médecine alternative est donc un prolongement du traitement conventionnel de la chlamydia. Cela permet d’éviter que les malades de chlamydia continuent de développer des résistances à l’antiobiothérapie.
